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42 faits confidentiels sur l’espionnage pendant la Seconde Guerre mondiale

13.La technicité

Après avoir passé un mois à Ottawa en vivant grâce aux fonds qu’il avait reçu des nazis de l’Abwehr, profitant de la vie dans un pays où la dictature ne régnait pas, Marius Langbein s’est rendu à la Gendarmerie royale du Canada. Et, contre toute attente, lors de son procès, le juge a décidé que, puisque Marius Langbein n’avait techniquement pas rempli sa mission d’espionnage pour les allemands, il ne pouvait pas être condamné à ce titre-là. Marius Langbein n’a donc reçu aucune condamnation du Canada.

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