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Coiffure : les 30 pires coupes qui ne doivent surtout pas revenir à la mode

Le Mop-Top

Le Mop Top était partout dans les années 60, et les Beatles en sont largement responsables. Leurs cheveux longs et souples ont inspiré une légion de jeunes garçons et d’hommes à laisser pousser les coupes de leur équipe, et à adopter à la place une coiffure hirsute qui s’enroulait sur leurs oreilles et au-delà de leur col. Mais les hommes n’étaient pas les seuls à arborer ce look, les femmes aussi. La musicienne anglaise Julie Driscoll était célèbre pour son balai à franges en forme de champignon, qui apparaissait sur tous les tapis rouges tape-à-l’œil et dans les concerts à guichets fermés. Mais obtenir ce look n’était pas une mince affaire pour l’artiste. Elle avait des cheveux naturellement bouclés et devait investir des heures de coiffure pour que ses cheveux restent lisses.

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“J’ai eu tellement de mal à les défriser”, a-t-elle déclaré au Star-Phoenix en 1968. “Chaque jour, je devais utiliser des pinces pour enlever les boucles.” Avec des cheveux aussi épais que les siens, vous ne pouviez qu’imaginer le temps que cela prenait. Si ses cheveux épais, semblables à ceux d’un casque, ont inspiré les jeunes femmes à donner la même forme à leurs propres mèches, tout le monde n’était pas fan de ce style galbé. Le Times a observé en 1967 que les cheveux de Julie Driscoll “n’avaient pas seulement l’air d’être crêpés, mais vraiment torturés”. Ce n’est pas une observation élogieuse.

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